Entre rimes et structures: sonnets... sonnets... sonnets... Les sonnets a été un exercice proposé pour le professeur Fabrice Galvez pour la classe avancé 2 de français, semestre 2011.1 - CELF/UFBA. Le professeur a comencé avec un sonnet de Charles Baudelaire, Parfum exotique... Ahhh! Baudelaire e Les Fleurs du mal! Et après? Chacun devrai faire son sonnet!... théme libre... Les résultat? Ici... au dessous... Bonne lecture!
mercredi 22 juin 2011
Épanouie
Épanouie
Si tu souris, mon amour, je suis si heureuse
Et s’illumine mon cœur charmée de faible femme
Si tu pleures tes larmes sont de terribles roses
Dont les petits épines féroces blessent mon âme
Tu joues avec tes héros et tu cours et sautes
Je suis complètement émerveillée par toi
Fatiguée, à la danse de tes forts pas, je flotte
Depuis le jour que je t’ai pris dans mes doux bras
Dans ce monde là, ta fraîcheur est la pure sagesse
La mélodie de ta voix éloigne ma tristesse
J’ai tout oublié et tu me fais apprendre
L’éclat de tes yeux me montre le long chemin
Tu es mon ange vrai, sage, généreux et tendre
Tu es l’espoir qui remplit toujours mes matins
Regina Célia Rodrigues dos Santos
Salvador, Junho de 2011
Universidade Federal da Bahia
Instituto de Letras - Departamento de Letras Românicas
Curso de Extensão em Língua Francesa – Nível Avançado 2
Si tu souris, mon amour, je suis si heureuse
Et s’illumine mon cœur charmée de faible femme
Si tu pleures tes larmes sont de terribles roses
Dont les petits épines féroces blessent mon âme
Tu joues avec tes héros et tu cours et sautes
Je suis complètement émerveillée par toi
Fatiguée, à la danse de tes forts pas, je flotte
Depuis le jour que je t’ai pris dans mes doux bras
Dans ce monde là, ta fraîcheur est la pure sagesse
La mélodie de ta voix éloigne ma tristesse
J’ai tout oublié et tu me fais apprendre
L’éclat de tes yeux me montre le long chemin
Tu es mon ange vrai, sage, généreux et tendre
Tu es l’espoir qui remplit toujours mes matins
Regina Célia Rodrigues dos Santos
Salvador, Junho de 2011
Universidade Federal da Bahia
Instituto de Letras - Departamento de Letras Românicas
Curso de Extensão em Língua Francesa – Nível Avançado 2
L’amour et la haine
L’amour et la haine
par Isael Sena
Je pourrais te dire de quelques choses élégantes
Une histoire très merveilleuse d’un conte content
Raconter patiemment chaque jour tous les contes
Des histoires comme les parents parlent sages aux enfants
Tu m’as dit que je suis toujours très fatigant
Et que toutes mes paroles sont tristes et mécontentes
Tu répètes fréquemment « pas intéressant »
Sans espoir, simplement, je suis parti rapidement
Je suis retourné fatigué à la maison
Car je pensais que la vie était un Roman
Après ça je suis tombé dans la dépression
Depuis ce jour me vie est seulement tristesse
Où les amours faibles ne sont pas suffisants
Et la cruelle femme que j’aime n’a pas la sagesse
par Isael Sena
Je pourrais te dire de quelques choses élégantes
Une histoire très merveilleuse d’un conte content
Raconter patiemment chaque jour tous les contes
Des histoires comme les parents parlent sages aux enfants
Tu m’as dit que je suis toujours très fatigant
Et que toutes mes paroles sont tristes et mécontentes
Tu répètes fréquemment « pas intéressant »
Sans espoir, simplement, je suis parti rapidement
Je suis retourné fatigué à la maison
Car je pensais que la vie était un Roman
Après ça je suis tombé dans la dépression
Depuis ce jour me vie est seulement tristesse
Où les amours faibles ne sont pas suffisants
Et la cruelle femme que j’aime n’a pas la sagesse
La nature de l’amour
La nature de l’amour
La mer doit chuchoter son soupir doucement,
La grande lune doit sortir brillante ce soir,
Et le ciel doit montrer ses étoiles d’espoir,
Pour que je puisse t’aimer éternellement.
Quand le matin arrive, je regarde ton essence
Encore dormant, je me rappelle de notre histoire,
Tous les beaux souvenirs sont dans ma mémoire.
Je me lève sûr que l’amour n’est pas un instant.
Dans le nuage gris, je ne veux pas voler.
Sur la terre sèche, je ne peux pas me promener.
Je désire trop l’exubérance de la passion,
Pour me nourrir des couleurs d’une fleur très jolie.
Alors mon vieux coeur triste aura l’obligation
De crier que, sans vous, n’existe pas ma vie.
Daniel Costa
La mer doit chuchoter son soupir doucement,
La grande lune doit sortir brillante ce soir,
Et le ciel doit montrer ses étoiles d’espoir,
Pour que je puisse t’aimer éternellement.
Quand le matin arrive, je regarde ton essence
Encore dormant, je me rappelle de notre histoire,
Tous les beaux souvenirs sont dans ma mémoire.
Je me lève sûr que l’amour n’est pas un instant.
Dans le nuage gris, je ne veux pas voler.
Sur la terre sèche, je ne peux pas me promener.
Je désire trop l’exubérance de la passion,
Pour me nourrir des couleurs d’une fleur très jolie.
Alors mon vieux coeur triste aura l’obligation
De crier que, sans vous, n’existe pas ma vie.
Daniel Costa
Un poème triste
Un poème triste
Sur la plage, chaque jour, un garçon allait marcher
Il aimait à rêvasser sur le sable de la plage
Il aimait toujours voir le vent sous l’orage
L’histoire de ce garçon, on ira narrer.
Un jour d’été, au matin, tout avait changé
Alors qu’il s’était réveillé avec de sage
Pendant qu’il se proménait le long de la plage
Une gracieuse femme, il se mit à regarder.
Après ce jour, il l’a cherché aux alentours
Il lui avait donné son coeur et son amour
Mais elle avait disparu, quelques jours avant…
Solitaire et sans coeur, le garçon allait toujours
Et sur le sable, son corps fut retrouvé un jour
D’amour il était mort, avec un air si souriant.
Mairim Pacheco
Sur la plage, chaque jour, un garçon allait marcher
Il aimait à rêvasser sur le sable de la plage
Il aimait toujours voir le vent sous l’orage
L’histoire de ce garçon, on ira narrer.
Un jour d’été, au matin, tout avait changé
Alors qu’il s’était réveillé avec de sage
Pendant qu’il se proménait le long de la plage
Une gracieuse femme, il se mit à regarder.
Après ce jour, il l’a cherché aux alentours
Il lui avait donné son coeur et son amour
Mais elle avait disparu, quelques jours avant…
Solitaire et sans coeur, le garçon allait toujours
Et sur le sable, son corps fut retrouvé un jour
D’amour il était mort, avec un air si souriant.
Mairim Pacheco
Le départ
Le départ
Si tes yeux me parlent doucement, mon amour
J’aperçois qu´ils dissimulent un nuage sombre
Je sens l’air qui habite la désolée pénombre
Il m’enveloppe comme à la fin du jour
Si ta bouche me dévêt de baiser autour
De mon corps qui tremble en sentant tes douces ombres
Tu quittes ma vue et tout a l’odeur funèbre
Je serai encore perdue par ton fragile amour
Mon âme se dilacère en observant fatiguée
La porte ouverte et l’air encore dérangé
Par ton inquiète présence. Et, moi, mon cœur ?
Le désespoir de l’attente me pousse à rester
Sur l’illusion de te voir demain sans douleur
La distance n’aura d’autre option que cesser.
A.R.
Si tes yeux me parlent doucement, mon amour
J’aperçois qu´ils dissimulent un nuage sombre
Je sens l’air qui habite la désolée pénombre
Il m’enveloppe comme à la fin du jour
Si ta bouche me dévêt de baiser autour
De mon corps qui tremble en sentant tes douces ombres
Tu quittes ma vue et tout a l’odeur funèbre
Je serai encore perdue par ton fragile amour
Mon âme se dilacère en observant fatiguée
La porte ouverte et l’air encore dérangé
Par ton inquiète présence. Et, moi, mon cœur ?
Le désespoir de l’attente me pousse à rester
Sur l’illusion de te voir demain sans douleur
La distance n’aura d’autre option que cesser.
A.R.
Inscription à :
Articles (Atom)